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Comment utiliser le médicament Dufaston

Dufaston est un médicament de type diurétique de la classe des inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine.

Il est utilisé dans le traitement de l'hypertension, de l'insuffisance cardiaque et de l'œdème chez les patients atteints de cirrhose du foie et de l'hypertension artérielle pulmonaire (HTAP).

La dose recommandée est de 150 à 200 mg pris trois fois par jour. Il est utilisé en association avec d'autres médicaments, comme des diurétiques épargneurs de potassium, des inhibiteurs de l'ECA et des bêta-bloquants.

Avec une diarrhée aiguë ou une intoxication à d'autres médicaments

Le médicament est pris avec les repas et au moins 12 heures après la prise des autres médicaments.

La dose de doses de doses individuelles ne doit pas dépasser 2 g par jour, à partir du 5e jour du cycle.

Dufaston est utilisé lorsque la dose initiale est de 150 mg par jour et la dose est augmentée à 200 mg par jour pendant 2 à 3 semaines.

Le traitement est administré pendant 4 à 6 semaines, puis la dose est réduite progressivement jusqu'à la dose de 150 mg.

Une dose de 100 mg par jour pendant 2 à 3 semaines ne doit pas être administrée chez les patients présentant une hypersensibilité au médicament, une insuffisance rénale ou hépatique sévère, une lésion rénale, une obstruction de l'uretère ou de la vessie, une infection active, une insuffisance cardiaque ou un traitement concomitant par les AINS, les antagonistes de l'angiotensine II, les inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine, les antidépresseurs tricycliques, les antipsychotiques, les médicaments contenant du lithium, les contraceptifs oraux ou les médicaments agissant sur le système nerveux central.

Pour une utilisation en monothérapie, 150 mg par jour est utilisé pendant 1 à 2 mois. Si la diarrhée persiste, le médecin peut augmenter la dose à 200 mg par jour.

Avec l'utilisation concomitante d'autres médicaments et de diurétiques

Le traitement par Dufaston doit être arrêté dès l'apparition des signes de réactions allergiques, y compris les démangeaisons et la rougeur du visage et du cou, les lèvres et la langue, l'urticaire, les éruptions cutanées, les gonflements et les difficultés respiratoires sévères.

Les médicaments qui peuvent provoquer des réactions d'hypersensibilité comprennent les médicaments contenant du lithium et les anticoagulants, les inhibiteurs du CYP2D6, les AINS et les inhibiteurs de l'ECA.

La dose de doses individuelles ne doit pas dépasser 2 g par jour, à partir du 5e jour du cycle.

Il est recommandé d'utiliser la dose la plus faible possible et de commencer le traitement avec le dosage le plus faible.

Dufaston ne doit pas être administré aux enfants et aux adolescents.

Il n'est pas recommandé de prendre ce médicament pendant la grossesse ou l'allaitement.

Avec l'utilisation concomitante de contraceptifs oraux

Les médicaments qui peuvent provoquer des réactions d'hypersensibilité comprennent les médicaments contenant du lithium, les anticoagulants, les inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine, les antipsychotiques, les inhibiteurs de l'ECA et les antidépresseurs tricycliques.

Avec l'utilisation concomitante d'antidiabétiques

Le traitement par Dufaston ne doit pas être administré aux enfants et aux adolescents.

Dufaston ne doit pas être administré aux femmes enceintes ou qui allaitent et aux enfants de moins de 12 ans.

Ce médicament doit être utilisé avec prudence pendant la grossesse, car le difluprednate est excrété dans le lait maternel et peut provoquer une hypertension artérielle pulmonaire sévère chez le nouveau-né si les femmes en prennent pendant la grossesse.

Il n'est pas recommandé d'utiliser Dufaston pendant la grossesse et pendant l'allaitement car les risques d'effets secondaires chez le bébé sont inconnus.

Définition

Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) ou « syndrome des ovaires polykystiques » est une affection chronique de la femme. Il s'agit d'une anomalie hormonale qui touche entre 15 et 30% des femmes. La grossesse est souvent retardée chez les femmes atteintes de SOPK. L'absence d'ovulation peut également être à l'origine d'une diminution de la qualité de vie. La présence de poils abondants chez les femmes atteintes de SOPK peut aussi être une complication de la maladie.

Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est la conséquence d'une production excessive d'hormones mâles, les androgènes. Ces hormones sont responsables de la formation des poils et de la pousse des cheveux. Elles jouent également un rôle dans la régulation de la fertilité et de la production de testostérone. Le SOPK se traduit par une augmentation des taux d'androgènes, notamment de la testostérone, de l'hormone folliculo-stimulante (FSH) et de l'hormone lutéinisante (LH). Les œstrogènes sont peu présents.

Les femmes souffrant du SOPK peuvent rencontrer des difficultés à concevoir un enfant. La fertilité diminue progressivement. Le SOPK peut également entraîner une prise de poids, des troubles du cycle menstruel, des troubles de l'ovulation ou de la spermatogenèse et une modification de la libido.

Principales causes

Le SOPK est une maladie héréditaire. Il s'agit d'une cause fréquente de dysfonctionnement ovarien. Le gène responsable de cette maladie est appelé « facteur de croissance des hormones stéroïdes » (STARGF). C'est une maladie génétique qui concerne de 1 à 5% de la population féminine.

Les femmes ayant un SOPK héréditaire ont une testostérone plus élevée que la normale et un taux d'œstrogènes plus élevé.

Les femmes ayant un SOPK héréditaire ont une production excessive d'androgènes en plus d'un taux d'œstrogènes plus élevé.

Les femmes souffrant de SOPK héréditaire présentent souvent des cycles irréguliers. Les cycles réguliers et les cycles menstruels irréguliers peuvent également être la conséquence du syndrome des ovaires polykystiques.

Principales manifestations

Le SOPK est caractérisé par la présence d'œstrogènes en plus de l'hormone lutéinisante.

Le SOPK se traduit par une augmentation des taux d'androgènes et d'œstrogènes. Les femmes atteintes de SOPK présentent des poils abondants et une peau grasse, ainsi qu'une pilosité faciale. Ces signes peuvent être présents dès le début de la puberté.

Les femmes souffrant de SOPK peuvent rencontrer des difficultés à concevoir un enfant.

Dans certains cas, le syndrome des ovaires polykystiques est associé à d'autres affections comme les maladies du foie ou des reins ou à une hyperthyroïdie (maladie de la thyroïde).

Le SOPK est un diagnostic à évoquer en cas de cycles menstruels irréguliers ou en cas de signes de la maladie tels que une pilosité excessive ou une augmentation du volume des seins.

Traitement

Le traitement de base du SOPK est la suppression de la testostérone et de l'hormone folliculo-stimulante.

La prise de stéroïdes (anabolisants) pour supprimer la production excessive d'androgènes.

La prise d'anti-androgènes par voie orale (dexamethasone) ou en injectable (steroïdes) pour diminuer les niveaux d'œstrogènes.

La stimulation du cycle menstruel pour provoquer l'ovulation et la pilosité de la peau.

Le traitement par lephaston pour favoriser la production des hormones nécessaires à la fertilité et pour traiter certains symptômes comme les troubles de la libido.

La stimulation ovarienne par des injections d'hCG en début de cycle pour favoriser la croissance des follicules et provoquer l'ovulation.

L'administration d'œstrogènes par voie orale en cas de pilosité importante.

Le traitement hormonal substitutif (THS) pour traiter les symptômes liés à la production excessive d'androgènes.

Prise en charge du SOPK

Le SOPK est une maladie chronique qui peut nécessiter un traitement adapté. Il est important de suivre un traitement à long terme. Un traitement par lephaston n'est pas adapté pour traiter le SOPK. La prise de stéroïdes doit être stoppée dans les cas de SOPK avancé. Le traitement par lephaston ne doit pas être administré en cas de syndrome des ovaires polykystiques.

La stimulation du cycle menstruel est recommandée pour favoriser la production des hormones nécessaires à la fertilité et pour traiter certains symptômes comme les troubles de la libido.

La stimulation ovarienne par injection d'hCG en début de cycle permet de favoriser la croissance des follicules et de provoquer l'ovulation. L'hCG est administrée à un faible dosage pendant 2 à 5 jours.

La pilosité de la peau est traitée par application locale de stéroïdes. La peau est également traitée par un traitement antibiotique par voie orale ou injectable.

La fertilité est améliorée et les règles sont plus abondantes. Les saignements sont traités par un traitement hormonal substitutif (THS).

Traitement médicamenteux du SOPK

Le traitement du SOPK repose sur un traitement hormonal substitutif (THS). Le traitement hormonal substitutif peut être associé à la prise de stéroïdes pour aider à régulariser les cycles menstruels.

La prise de stéroïdes par voie orale ou injectable est contre-indiquée dans le cas de SOPK sévère ou d'antécédents de cancer. Les stéroïdes peuvent également être contre-indiqués chez les femmes ayant un risque de thrombose.

La prise de stéroïdes par voie orale ou injectable peut entraîner des effets indésirables : maux de tête, nausées, douleurs musculaires, bouffées de chaleur, diarrhée, troubles digestifs, prise de poids, rétention d'eau, augmentation des taux d'œstrogènes, etc.

L'hormonothérapie substitutive ne doit pas être utilisée à long terme dans le traitement du SOPK. Elle doit être arrêtée dès l'apparition des effets secondaires.

Risque de SOPK

Le SOPK est une maladie qui peut être traitée et même évitée. Les femmes atteintes de SOPK présentent un risque accru de développer des problèmes cardiovasculaires (infarctus, AVC...), de développer une hypertension artérielle et une insuffisance rénale.

Le SOPK est un trouble chronique de la reproduction qui est souvent asymptomatique. Les femmes atteintes de SOPK peuvent développer des symptômes comme une augmentation du volume des seins, une pilosité excessive et une rétention d'eau.

Le SOPK est plus fréquent chez les femmes jeunes, entre 15 et 30 ans. Les symptômes apparaissent généralement durant l'adolescence et l'âge adulte (après 35 ans). La plupart des femmes atteintes de SOPK ne savent pas qu'elles sont atteintes d'une maladie héréditaire.

Les facteurs de risque du SOPK sont :

Les antécédents de dysfonctionnement ovarien :

L'âge :

Les antécédents familiaux :

Les maladies des organes reproducteurs :

Le gène STARGF, responsable de la pathologie SOPK, est responsable de la production excessive d'androgènes. Les femmes atteintes de SOPK ont un taux d'œstrogènes plus élevé.

Les facteurs de risque du syndrome des ovaires polykystiques sont :

La prise de stéroïdes par voie orale ou injectable :

Le mode de vie :

L'obésité :

Les autres causes :

La pilule :

Le SOPK peut également se développer suite à une infection génitale transmissible.

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